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Message par Invité Mer 23 Mar - 16:28

"1 .T.E.C.H.N.O.T.R.A.C.T.

La culture technologique est toute la culture du 20ème siècle. Le son Techno en est le précipité, le raccourci, la synthèse, et tout autant le poste avancé tendu vers le 21ème siècle. Indiquons d'emblée ce qui découle inévitablement de ce constat manifeste :
La techno est beaucoup plus qu'un phénomène de mode, ça, tout un chacun l'a pressenti. Elle est quelque chose d'essentiel à notre rapport au monde, à notre existence.

Objet technologique elle-même, sa durée de vie est celle d'un réplicant Nexus dont nous ignorons le terme, mais qu'on sait performant;elle est la dynamique de la fin de siècle, celle des années post-industrielles, le point précis où un millénaire bascule dans l'autre. Elle est donc du passé et de l'avenir.
Un passé ultra-connu, mais qui va être l'objet d'une relecture au travers du concept techno. Il faut produire l'image synthétique qui va devenir le siècle dernier : l'histoire de la technologie du XXème siècle, c'est la machine, l'industrialisation économique, scientifique et artistique, l'homme automatisé, mécanisé, motorisé, bref l'homme cybernétisé.
C'est que le savoir est devenu essentiellement actif technologiquement.
Moyen de transport, de destruction, de construction, de communication, d'expression ... il faut comprendre ce qu'est ce "Mensch-Maschine".
Un avenir totalement inconnu, mais dont la techno est l'énigme à décrypter ... justement par la compréhension nouvelle d'un passé qui va prendre son sens au moment où il va "advenir".
La culture techno aura cette ampleur ou ne sera pas, c'est l'enjeu.
Il est gros.

2 .L.A. .T.E.C.H.N.O. .A. .T.R.A.V.E.R.S. .L.E.S. .A.G.E.S.

A la limite, tout est technologique dans la culture de l'homme. Le langage et l'outil relève d'une même activité : la tactique de la vie.
Cette stratégie de préhension du monde a beaucoup évolué sur le plan technique, bien que le passé recèle déjà d'assez beaux exemples mégalomanes : la machine la plus délirant jamais inventée c'est la "mégamachine" des royautés d'il y a 5000 ans. Une machine invisible. D'immenses masses d'hommesminutieusement organisées construisent des édifices gigantesques et jamais vus, encore comparables à ce que nous pouvons faire.
Mais le projet technologique moderne ne naît pas avant la fin du Moyen-Age, et c'est Descartes qui le formulera dans son célèbre fantasme programmatique : "Devenir maîtres et possesseurs de la nature". Argl!
Dès lors la machine est sur les rails. Diderot au XVIIIè classifie les techniques dans son encyclopédie, et le XIXè voit l'avènement de la révolution industrielle.

3 .L' .E.C.R.I.T.U.R.E. .A.U.T.O.M.A.T.I.Q.U.E

L'activité créatrice, qui constituait jusqu'alors un tout, se scinde en "Art" et "Technique".
La technique fait le sale boulot, les "Beaux-arts" se consacrent aux préoccupations d'ordres esthétique et moral, pur objet de spéculation marchande.
Cette séparation est mal vécue. Tout le début du XXè voit l'art tenter désespérément de retrouver sa moitié perdue. Il devient abstrait, par souci permanent d'efficacité, dessine de belles usines, des villes harmonieuses, projette un futur hédoniste tout équipé pour la contemplation d'une idéale beauté, fait l'éloge de la machine, et cela jusqu'à la comédie du désign, parodie de réconciliation où l'art et la technique se compromettent sous les bons auspices de la gadgétisation.
Non, rien n'y fait, la séparation est consommée. Ce qui n'était auparavant qu'une seule et même activité, qui s'appellait "tékhnè" chez les Grecs et "ars" chez les Romains, le moment du "faire", la possibilité d'un rapport concret de création entre l'homme et l'objet de son travail, c'est cuit.
Il n'y a plus que l'Artiste qui "conçoit", confiné dans la prison honorifique de l'Esprit, mais sa tâche est inessentielle, superfétatoire. Tout au plus sert-il à l'ostentation des nantis et au culte du prolétariat, dont l'ouvrier est à la chaîne accomplissant le geste assigné. Jusqu'à ce que la cybernétique le remplace par des robots, et lui confie des tâches de surveillance et de coordination.

4 .T.E.C.H.N.O.G.E.N.E.S.E.

C'est à ce moment-là, avec la cybernétique, les langages algorithmiques, l'informatique, que les choses deviennet intéressantes, et que la culture techno prend son envol. La cybernétique est la science des actes contrôlés,et sa spécificité est d'utiliser la méthode des modèles. C'est -à-dire qu'elle copie les comportements connus chez l'animal et chez l'homme.
Entre les "machines qui pensent" et la "pensée comme machine", c'est le "je pense donc je suis" cartésien qui nous plonge dans les angoisses existentielles.

5 .M.Y. .M.I.N.D. .I.S. .G.O.I.N.G...

Depuis la notion de société cybernétisée amplifiée par les médias, la science-fiction, n'a pas cessé d'engendrer les pires cauchemars comme les rêves les plus paradisiaques.

6 .H.A.R.D.C.O.R.E.

La machine devient de plus en plus autonome, et nous n'avons plus les moyens d'arrêter le processus. Elle va tout dévorer et nous avec.

.H.A.P.P.Y.

Demain l'humanité sera affranchie de sa propre gestion, assumée par la machine. La civilisation du futur est celle du loisir et du bonheur.

.P.A.C.E.M.A.K.E.R.

Notre quotidien nous fait l'entre-deux et l'aller-retour. Popper introduit l'idée de système exosomatique. Il entend par là les systèmes informatifs, tel que les théories scientifiques ou même le langage ordinaire, qui sont produits par l'être humain, mais qui lui deviennent en quelque sorte extérieurs et possèdent une réelle autonomie de fonctionnement. Les systèmes informatifs sont inséparables de l'homme comme la coquille de l'escargot ou la toile de l'araignée.
Mais ces appareils sont des parties de l'organisme humain plutôt que des parties de notre nature.

7 .M.A.N.M.A.C.H.I.N.E.

Mais alors qu'est-ce qui nous distingue des machines? Ecoutons Descartes : "La machine arithmétique fait des effets qui s'approchent plus de la pensée que tout ce que font les animaux; mais elle ne fait rien qui puisse faire dire qu'elle a de la volonté, comme les animaux".
Volonté? Définition du dictionnaire : pouvoir de se déterminer librement à agir. Ca demanderait à définir le libre arbitre avec exactitude....et savoir ce qu'est la conscience, et si on en a une.
Non, ce qui est intéressant dans la phrase de Descartes, c'est la référence aux animaux. Si l'on a confié le savoir objectif à la machine, c'est bien notre nature animal, y compris celle de notre pensée, qui résiste le mieux à la réduction en systèmes.
Donc "l'homme" est une machine, la techno, avec laquelle, nous, race animale nouvelle plus évoluée que l'homme, vivons en symbiose.
Groumf, ça ouvre des perspectives.

8 .T.A.K.E. .N.O.N. .S.E.N.S.E.

On va pouvoir se remettre à penser. Avec difficulté puisque tout type de raisonnement, nous le savons, est de nature systématique, y compris la pensée paradoxale. Ca nous entraine à une pensée pulvérisée en myriades de petits objets hétéro*****es et contradictoires, une pensée fluide et immédiate, volatile, sans recherche de la vérité, affranchie du sens-même si elle le pouvait, au côté des grands arbres technologiques de la pensée théorique. Cette relation équilibrée avec la techno, c'est elle-même qui nous y invite en musique.

9 .T.E.C.N.O. .L.A.V.E. .P.L.U.S. .B.L.A.N.C.

La technocratisation, l'automation, la régulation sont à leur comble, et ce comble est notre réel. Au point que plus personne n'a plus la moindre conscience de défendre une quelconque idée, à moment où pas un de nos gestes ne relève d'autre chose que d'une morale surconstituée...et invisible.
Nous sommes comme les mentats de la science-fiction, secrètement, et à notre insu, programmés. Le réel est un standart qui va de soi, il n'est plus nécessaire de l'avaliser, de l'imposer contre un chaos menaçant.
Là où règne la paralysie mentale, comportementale, langagière, gavés que nous somme de la messagerie publicitaire, de la stalag médiatique, des brutalités de son hypnosuggestion, de sa perpétuelle incitation à la consommation, du viol de nos espaces mémoriels engorgés et hallucinés, TECNO lave encore plus blanc.
Elle est la Brinvilliers du smart-drink, la chaise musicale électrique, le sabbat électronique où l'on sacrifie ses sens impies à un culte narcissique, où la satisfaction naît du simple sentiment d'être en train de subir un surcontrôle imposé par la machine.
La techno est une thérapie du mal par le mal.

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Message par Invité Mer 23 Mar - 16:29

10 .C.L.I.C. .C.L.I.C. .C.L.I.C.

Logique du désir : toujour plus de sensations, toujours plus fort, plus loin, toute la culture médiatique prône la vie intensive, trépidante.
La techno est le dernier degré dans cette quête de l'absolu sensuel, qui bascule dans une exaspération douloureuse, un pandémonium qui vrille nos nerfs crispés, qui nous abrutit presque définitivement... mais qui nous convient, d'une part parce qu'il répond à la logique de l'accélération, d'autre part parce que c'est ainsi le vieux réel qui est en train d'y passer : la techno fait le vide, parce qu'il y a trop plein. Elle fait table rase d'une certaine aspiration humaine à un monde idéal; le "paradis terrestre" se transforme sous nos yeux en un agencement de rouages et de déclics qui s'emballe et fuit en flèche vers l'horizon.
Nos vieux rêves ne sont plus qu'entrailles d'horloge.
C'est le grand nettoyage, et un nouveau primitivisme. Nous apprenons à distinguer ce qu'est la machine, et qui nous sommes. Ce n'est pas un divorce (au contraire), mais une redéfinition.

11 .P.R.O.M.E.T.E.C.N.O. .H.A.R.D.G.O.R.E.

La machine se fait enfin entendre à une large audience et dévoile sa véritable nature. Bien sûr la technique a toujours émis du son, mais on ne la comprenait pas, ce son fut bêtement pris pour un bruit désagréable et perturbateur.
Néanmoins couinements, grincements, tapements, claquements, stridences, sifflements, hoquets, cliquetis, frottements; tûûûts, pouêts, explosions, vrombissements, détonations, souffles, cadencés, rythmés, constituent une poésie techno séculaire, tradition "orale" transmise de machine en machine, datant de la plus haute antiquité.
Les musiciens du XXè la prennent au sérieux et lui font pousser ses premiers cris au titre officiel de musique. Varèse, Stockhausen, Nono, Ligeti, Penderecki, la font chanter mais ne nous font pas encore ... danser.
Le beat binaire va servir de support à toute cette musique abstraite, refoulée, damnée, enterrée, qui jaillit telle un mort-vivant plantant ses ongles au plus profond de nous...pour pouvoir se faire enfin, sur le mode médiumnique, entendre par des millions d'oreilles.
La machine peut enfin s'exprimer, corps sans âme, Prométhée déchainé, qui hurle sa longue solitude industrieuse, hurlement des ténèbres de la souffrance glacée des espaces infinis et inorganiques.
La techno est la mise en liberté de la machine cosmique, qui a mangé Orphée d'un seul coup de machoire, et tout l'enfer avec.

12 .A.P.O.C.A.L.Y.P.S.E. .V.I.R.T.U.E.L.L.E.

Notre conditionnement nous assure que tout va disparaitre d'une seconde à l'autre, dans un gigantesque holocauste généralisé... Parade inconsciente et collective, héritage d'un très ancien culte solaire. L'objet de notre fascination, de notre adoration, ce qui incarne pour nos esprits maitrisés le degré ultime du divin, c'est l'embrasement destructeur, incarné aujourd'hui par la peur d'une technologie incontrôlable.
Ca nous effraie, ça nous attire, ça nous tétanise, on n'y regarde que dans les transes d'une surexcitation angoissée, suffoquée, le secret suprême confiné dans le tabernacle de nos esprite est l'idée de la mort.
C'est une déprogrammation mentale impitoyable que nous prodigue la techno. Elle réinitialise nos cerveaux. Elle est négativante, destructrice, d'une façon ultra-positive; un no future qui nous redonne pourtant un futur inconnu, un espace mental regagné.
Pour mener à bien cette décontamination psychique et faire connaissance avec soi-même, il faut subir à haute dose les forceps du hardcore, le corps et l'esprit abreuvés d'un catastrophe simulée.


13 .S.P.A.C.E.C.O.R.E. .E.N.E.R.G.Y.


C'est un phénomène qui part du corps, de la trance, et qui, plus on va vers le hardcore, refoule le langage. Le hardcore est la face chtonnienne de la techno, son côté sourd, enfoui, profond, le point d'origine, la racine de son énergie vitale.
Approchez-vous d'une source énergétique, d'abord ça chauffe et puis ça brûle. Ce côté souterrain et incandescent, c'est le magma sous nos pieds qui se refroidit, se désagrège en remontant à la surface, s'humidifie et devient le terreau d'où jaillit un sacre du printemps techno.
Le hardcore est l'instant précis où le corps se détache de la machine, le moment où il ne peut plus la suivre, et où il s'arrache d'elle, où il la comprend pour s'en être séparé, il a fait avec elle l'expérience de l'altérité.

14 .E.M.B.A.R.Q.U.E.M.E.N.T. .P.O.U.R. .C.A.T.H.A.R.S.I.S.

A quoi bon nier les pulsions négatives? L'être que nous sommes n'est pas sympathique (méfiez-vous des gens sympathiques). Le désir de tuer, de dominer, d'imposer sa volonté, n'est pas le propre de quelques politiciens fous ou d'une poignées d'irraisonnables, non, c'est le fait de tout un chacun (jetez un petit coup d'oeil dans vos entrailles), donc inutile de diaboliser les cintrés à qui l'on confie la tâche d'incarner une indécence qu'on refoule, qui nous culpabilise, ces cintrés sont bien nous-mêmes et vice-versa.
Assumons notre part d'ombre.

15 .M.E.R.C.I. .D.E. .V.O.Y.A.G.E.R. .S.U.R. .N.O.S. .L.I.G.N.E.S.

Vous souhaiter découper votre voisin en morceaux? ou vous faire battre à mort? La techno vous offre les supplices auditifs les plus effarants, un séjour aussi long qu'on veut dans les affres et les plaisirs de la négation la plus cataclysmique - plus qu'une catharsis, une nécessité de la vie moderne, une expérience qui vous replace au centre de la chair, qui vous redonne votre place centrale et égotiste; c'est la cruauté qui permet à l'être de se retrouver lui, J'éviscère donc je suis, au milieu de la masse anonyme et téléguidée.
Toutes les pusions dévastatricesse retrouvent, s'opèrent dans l'hypnose philosophale de la trans, faisant place à une énergie créatrice encore inemployée, libérée du chaos.

16 .O.U.F. .! .

La techno désactive la bombe et la réduit à de salutaires TEMPETES SOUS DES CRANES, elle sublime LA FIN DU MONDE, elle nie, de toute la force de la négation, les armes de destruction de masse, le désir irrépréssible de mourir du sida, et le caractère inéluctable de l'anéantissement final.... en l'incarnant sous la forme d'artefacts, en jouant à faire boum avec des sons, exorcisant la peur, le carburant des catastrophes.
L'une des principales victimes, beaucoup pleurée, de la techno, c'est la musique. Au sens où on l'entendait jusque là.
Technomeurtre et technorenaissance.

17 .L.A. .M.E.T.A.M.O.R.P.H.O.S.E. .D.E. .T.E.R.P.S.I.C.H.O.R.E.

Connaissez-vous cette machine, très en usage au XVIIIè chez les libertins? Une sorte de fauteuil qui, lorsqu'on s'y asseyait, faisait basculer une soupape, projetant en arrière la patiente, cependant que, saisies par des griffes de fer, ses jambes s'écartaient largement.
Voilà dans quel siège Tékhnè pousse Terpsichore, muse de la musique et de la danse. Elle la martyrise, la démantibule, la déchiquète, elle lui arrache son petit péplum.
Terpsichore est violée et mise en pièce par Tékhnè, sur l'autel même de l'Harmonie confondu avec l'enclume de Vulcain. C'est le rythme épileptique, pire, le martèlement apocalyptique qu'assène cett pure anti-matière musicale à l'utopie orphique qui trépasse enfin.
Tékhnè compresse ce passé musical, et forge un univers sonore neuf, immédiat, irréductible.
Alors la muse Terpsichore - devenue Trancechore la mutante - se relève des flammes, entame une danse sauvage et répétitive, une impossible accélération dans ses membres d'androïde.

18 .C.R.E.E. .T.O.I. .T.O.I. .M.E.M.E.

La techno lave le réel à grands coups de décibel de sa fausse apparence et nous le restitue sous son véritable aspect.
"Que faire de toutes ces sagesses qui invitent l'homme à s'approfondir, alors qu'il s'agit précisément de l'obliger à sortir de sa forme actuelle?" questionnait Georges Politzer dans "Critiques des fondements de la psychologie". Nous avons l'embryon d'une réponse : que l'homme et sa "sagesse" soient du ressort des machines, pendant que nous deviendrons quelque chose d'autre.
On nous propose de tourner enfin le dos à la direction que l'on suit depuis 23 siècles, et de substituer à l'impératif delphique "connais-toi toi même" ce commandement nouveau : "crée-toi toi même".

19 .P.L.A.N.E.T.E. .T.E.K.H.N.E.I.D.E.

Nous voici dans un monde où l'art n'est plus qu'une notion historique du passé, où la modestie de la tékhnè peut renaitre, dans sa simple nécessité, et sans idolatrie de la personnalité.
Les musiciens, les graphistes, tout utilisateur infographe travaillent sur des logiciels tout de même très performants, dont ils ne sont pas les auteurs; ils usent d'un tronc commun d'outils techniques complexes. On est loin de la création ex nihilo. La production d'objets imaginaires est aussi un travail technique, une équation entre morphomémoire et gestion de compétences, un travail de technomancien dans un univers fluide, évolutif. Une conception fragmentale de la création, un travail collectif qui dans la musique renvoie l'auditeur à son ego trip - hygiène mentale - sans autre divinité que lui-même et l'impersonelle techno.


Bravo et merci d'être arrivé jusqu'ici et bien le bonjour au .P.R.O.F.E.S.S.E.U.R. .D.I.A.B.O.L.I.Q.U.E. si il traine par là.
(Article extrait du magazine Coda n°2 de juin 1993)

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